Vendredi 27 mai 2017 Ventron - Les Gêts
Papa Gnou avait annoncé le petit déjeuner à 8.00 heures.
Le calme de la montagne avait permis aux Gnous de reprendre des forces afin d'affronter le Jura et la Savoie.
Nombre de motards avaient séjourné à l'Hermitage du Père Joseph, un des plus beaux toits des Vosges. On dénombrait un groupe d'allemands en Guzzi anciennes, des belges qui auraient pu être Gnous s'ils étaient nés sous une meilleure étoile. Petit Gnou et Mc Gnou avaient partagé une chambre dominant la campagne avoisinante. Les télésièges à l'arrêt témoignaient de l'intensité de l'activité hivernale de la station lorsque les pentes sont couvertes d'une épaisse couche de neige.
Le soleil brillait sur les montagnes et auguraient d'une journée de premier plan.
Vers 9.00 heures, les Gnous s'élancèrent dans la descente de la station. Le but était de traverser le Jura et le Vaud pour rallier Ve3vey afin d'y visiter le Chateau de Charlie Chaplin.
Arrivés dans les verts paturages du Jura Suisse, les Gnous se régalèrent visuellement d'herbe tendre d'altitude, mais rêvaient d'autre chose pour charger leurs flancs amaigris.
Après quelques chassé-croisés dont Mc Gnou et Garmin endossèrent la responsabilité, un petit restaurant fût avisé par les gnous qui s'attablèrent aussitôt. Des petites salades, quelques filets de perches et une charlotte aux fruits réconstituèrent leurs forces pour l'étape suivante: il s'agissait de visiter le fameux domaine de Charlot.
La troupe évita ainsi de remettre le couvert à l'Hotel de la Truite dans la vallée de Joux ou de sordides expériences gustatives avaient fait atrocement souffrir les pauvres meuglants affamés dans une vie antérieure.
L'intermède gastronomique eût tôt fait de mettre le programme à mal et de renvoyer la Kid à sa triste solitude: on fit l'impasse sur la partie culturelle de la journée afin d'arriver à l'heure aux Gêts dans le domaine de Morzine-Avoriaz.
En route, les Gnous furent confrontés à des ruminants alpins que Papa Gnou tenta d'amadouer avec patience. Se rterouver nez à mufle avec ses congénères lui procura à plaisir intense.
Plus loin, dans la sublime montée vers Morgins Milougnou fût atteint de vertiges dus à l'hypoglicémie de son trop léger déjeuner. Prévoyant, il avait englouti un Magnum qui n'avait pu lui épargner sa déconvenue. Une petite sieste arrangea tout et il repartit de plus belle.
Nous arrivâmes aux Gêts à 18.15 h, ce qui nous permit de prendre un bon bain dans le jacuzzi de l'hôtel "La Marmotte" avant d'aller diner.
Le calme de la montagne avait permis aux Gnous de reprendre des forces afin d'affronter le Jura et la Savoie.
Nombre de motards avaient séjourné à l'Hermitage du Père Joseph, un des plus beaux toits des Vosges. On dénombrait un groupe d'allemands en Guzzi anciennes, des belges qui auraient pu être Gnous s'ils étaient nés sous une meilleure étoile. Petit Gnou et Mc Gnou avaient partagé une chambre dominant la campagne avoisinante. Les télésièges à l'arrêt témoignaient de l'intensité de l'activité hivernale de la station lorsque les pentes sont couvertes d'une épaisse couche de neige.
Le soleil brillait sur les montagnes et auguraient d'une journée de premier plan.
Vers 9.00 heures, les Gnous s'élancèrent dans la descente de la station. Le but était de traverser le Jura et le Vaud pour rallier Ve3vey afin d'y visiter le Chateau de Charlie Chaplin.
Arrivés dans les verts paturages du Jura Suisse, les Gnous se régalèrent visuellement d'herbe tendre d'altitude, mais rêvaient d'autre chose pour charger leurs flancs amaigris.
Après quelques chassé-croisés dont Mc Gnou et Garmin endossèrent la responsabilité, un petit restaurant fût avisé par les gnous qui s'attablèrent aussitôt. Des petites salades, quelques filets de perches et une charlotte aux fruits réconstituèrent leurs forces pour l'étape suivante: il s'agissait de visiter le fameux domaine de Charlot.
La troupe évita ainsi de remettre le couvert à l'Hotel de la Truite dans la vallée de Joux ou de sordides expériences gustatives avaient fait atrocement souffrir les pauvres meuglants affamés dans une vie antérieure.
L'intermède gastronomique eût tôt fait de mettre le programme à mal et de renvoyer la Kid à sa triste solitude: on fit l'impasse sur la partie culturelle de la journée afin d'arriver à l'heure aux Gêts dans le domaine de Morzine-Avoriaz.
En route, les Gnous furent confrontés à des ruminants alpins que Papa Gnou tenta d'amadouer avec patience. Se rterouver nez à mufle avec ses congénères lui procura à plaisir intense.
Plus loin, dans la sublime montée vers Morgins Milougnou fût atteint de vertiges dus à l'hypoglicémie de son trop léger déjeuner. Prévoyant, il avait englouti un Magnum qui n'avait pu lui épargner sa déconvenue. Une petite sieste arrangea tout et il repartit de plus belle.
Nous arrivâmes aux Gêts à 18.15 h, ce qui nous permit de prendre un bon bain dans le jacuzzi de l'hôtel "La Marmotte" avant d'aller diner.