mercredi 28 mars 2018. tenerife Ouest
Au lever du jour, le chergui avait envahi le ciel de Tenerife. Ce vent chaud de l’Est charriait des tonnes de sable du désert, transformant le ciel d’azur en un brouillard irrespirable.
Notre road-book devait nous transporter de Adeje jusqu’à Garachico. Nous avions en effet décidé de clôturer le programme de la veille, n’ayant pu le parcourir en raison de notre tardive heure d’arrivée.
Nous traversâmes des montagnes impressionnantes, des vallées profondes et des routes à flanc de coteau. Nous pouvions au mieux imaginer les paysages qui nous entouraient car la visibilité ne dépassait pas quelques dizaines de mètres. Les “Gigantes” que nous espérions admirer depuis Acantilados se dessinaient à peine dans le brouillard.
Notre chef, alias “El mayor” nous engagea à nous déplacer vers le nord.
A Santiago del Teide, nous obliquâmes vers Buenavista, empruntant une route étroite et escarpée qui laissa un souvenir très moyen à Finougnou : les lacets ne trouvaient grâce à ses yeux qu’attachés à ses chaussures.
Nous tentâmes de rallier Punta de Teno, mais sans succès. La route fort étroite était réservée jusqu’à 19 heures aux bus de ligne, aux piétons et aux cyclistes. Nous rebroussâmes chemin, regrettant de ne pouvoir admirer le brouillard en un autre haut-lieu du tourisme. Nous dirigeâmes nos roues vers El Tanque ainsi rebaptisé pour l’occasion “El Tangui” en l’honneur de Finougnou.
Nous tentâmes alors notre chance vers le sud-ouest, espérant passer au-dessus de la purée de pois en passant au-dessus de 2000 mètres. Peu à peu, le Teide se dévoila derrière le sable volant, apportant aux gnous l’espoir de sortir de cette maudite brume saharienne.
Nous atteignâmes le Pico Viejo, dont la dernière éruption de 1798 est encore bien visible, la lave étant toujours stérile.
La qualité du revêtement s’était fortement améliorée et nous appréciâmes cette asphalte parfaite sur laquelle nos gommes prenaient un plaisir inattendu.
Nous redescendimes ensuite vers la vallée, nous promettant de revoir le Teide le lendemain.
Un bain dans la piscine nous permit de nous rafraîchir à notre retour. La température extérieure ayant atteint 26*C au niveau de la mer, nous étions en nage dans nos cuirs.
Notre road-book devait nous transporter de Adeje jusqu’à Garachico. Nous avions en effet décidé de clôturer le programme de la veille, n’ayant pu le parcourir en raison de notre tardive heure d’arrivée.
Nous traversâmes des montagnes impressionnantes, des vallées profondes et des routes à flanc de coteau. Nous pouvions au mieux imaginer les paysages qui nous entouraient car la visibilité ne dépassait pas quelques dizaines de mètres. Les “Gigantes” que nous espérions admirer depuis Acantilados se dessinaient à peine dans le brouillard.
Notre chef, alias “El mayor” nous engagea à nous déplacer vers le nord.
A Santiago del Teide, nous obliquâmes vers Buenavista, empruntant une route étroite et escarpée qui laissa un souvenir très moyen à Finougnou : les lacets ne trouvaient grâce à ses yeux qu’attachés à ses chaussures.
Nous tentâmes de rallier Punta de Teno, mais sans succès. La route fort étroite était réservée jusqu’à 19 heures aux bus de ligne, aux piétons et aux cyclistes. Nous rebroussâmes chemin, regrettant de ne pouvoir admirer le brouillard en un autre haut-lieu du tourisme. Nous dirigeâmes nos roues vers El Tanque ainsi rebaptisé pour l’occasion “El Tangui” en l’honneur de Finougnou.
Nous tentâmes alors notre chance vers le sud-ouest, espérant passer au-dessus de la purée de pois en passant au-dessus de 2000 mètres. Peu à peu, le Teide se dévoila derrière le sable volant, apportant aux gnous l’espoir de sortir de cette maudite brume saharienne.
Nous atteignâmes le Pico Viejo, dont la dernière éruption de 1798 est encore bien visible, la lave étant toujours stérile.
La qualité du revêtement s’était fortement améliorée et nous appréciâmes cette asphalte parfaite sur laquelle nos gommes prenaient un plaisir inattendu.
Nous redescendimes ensuite vers la vallée, nous promettant de revoir le Teide le lendemain.
Un bain dans la piscine nous permit de nous rafraîchir à notre retour. La température extérieure ayant atteint 26*C au niveau de la mer, nous étions en nage dans nos cuirs.