Jeudi 17 juin 2021 Colombey - Bruxelles
Les excellentes prévisions météorologiques ont motivé les gnous à rouler à la fraîche et à quitter Colombey aux aurores. Nous laissâmes le Général de Gaulle, sa femme et sa fille aux souvenirs d’outre-tombe de leurs compatriotes et fîmes route vers le nord. La départementale 384 nous conduisit au lac de Der où Mc Gnou se fit distancer et perdit le groupe qui fit halte à Chantecoq.
Ce n’est qu’en Argonne que la troupe se reconstitua. On fit une halte avant le débuché de la Forêt domaniale de Haute Chevauchée. Peu après, on traversa la célèbre Varennes où la fuite de Louis XVI et sa famille prit tristement fin.
Nous poursuivîmes cette belle route sous une chaleur de plus en plus oppressante. Le thermomètre dépassait 30 degrés et les cuirs devenaient des étuves à motards. Tout au plus pût-on y verser de l’eau par le col, l’évaporation apportant au torse une appréciable fraîcheur.
La dernière frontière de ce périple et la Semois furent franchies avant Bouillon. On traversa Paliseul et atteignit Redu, ultime étape restauratrice de notre voyage. C’est sur la terrasse du restaurant le Clocher, en face de l’église Saint-Hubert que fût pris ce repas de boulets au fromage d’Orval et de millefeuilles aux fraises.
Vers quinze heures on se remit en route: il restait environ une heure de trajet à parcourir.
Les gnous garderont de ce voyage le souvenir de routes splendides, de sardes aimables et accueillants, d’une nature incomparable et par-dessus tout de la convivialité gnoussienne, portée par la suprême compétence du chef qui au mépris de son confort et de ses occupations familiales avait organisé un voyage exceptionnel.
Ce n’est qu’en Argonne que la troupe se reconstitua. On fit une halte avant le débuché de la Forêt domaniale de Haute Chevauchée. Peu après, on traversa la célèbre Varennes où la fuite de Louis XVI et sa famille prit tristement fin.
Nous poursuivîmes cette belle route sous une chaleur de plus en plus oppressante. Le thermomètre dépassait 30 degrés et les cuirs devenaient des étuves à motards. Tout au plus pût-on y verser de l’eau par le col, l’évaporation apportant au torse une appréciable fraîcheur.
La dernière frontière de ce périple et la Semois furent franchies avant Bouillon. On traversa Paliseul et atteignit Redu, ultime étape restauratrice de notre voyage. C’est sur la terrasse du restaurant le Clocher, en face de l’église Saint-Hubert que fût pris ce repas de boulets au fromage d’Orval et de millefeuilles aux fraises.
Vers quinze heures on se remit en route: il restait environ une heure de trajet à parcourir.
Les gnous garderont de ce voyage le souvenir de routes splendides, de sardes aimables et accueillants, d’une nature incomparable et par-dessus tout de la convivialité gnoussienne, portée par la suprême compétence du chef qui au mépris de son confort et de ses occupations familiales avait organisé un voyage exceptionnel.