Samedi 25 mai 2019 - de Noto à Hakuba
Le clapotis des vagues nous réveilla en douceur. Nous ouvrîmes la porte fenêtre donnant sur le balcon, découvrant l’onsen privé qui nous attendait en glougloutant.
Papa Gnou leva le couvercle et découvrit un tub en bois rempli d’eau chaude dans lequel il se plongea avec délectation. Les vagues en contrebas venaient mourir sur les rochers.
McGnou fit quelques photos pour mémoriser l’instant, puis intervertit les rôles.
Le petit-déjeuner continental qui nous attendait au soleil fût servi par un personnel affable et attentionné qui nous remonta avec nos bagages au parking sur la hauteur. La veille nous avions descendu la rampe de type aller-retour à 15% mais en repartant pour le restaurant, McGnou cala et manqua de peu de tomber. Il renonça à réitérer l’exercice dans l’obscurité et les motos restèrent stationnées sur la hauteur.
La réceptionniste nous salua de la main jusqu’à ce que nous disparaissions à l’horizon. Nous appréciâmes ce geste aimable inconnu sous nos contrées.
Une fois le paquetage embarqué, nous partîmes vers le sud à la découverte de la côte orientale de la péninsule de Noto. Protégée des vents dominants, elle était à la fois moins escarpée et moins rocheuse. Sa végétation descendait jusqu’à la mer,
De ce côté, l’archipel est constitué d'îles reliées entre elles par des ponts. Nous évoluions à une allure moyenne, sachant qu’un quart du road-book serait parcouru sur une autoroute, ce qui nous laissait le loisir de musarder.
Une fois dans la plaine urbaine, le paysage avait perdu tout son charme et la température atteignait les trente degrés. Les cimes enneigées des Alpes lointaines semblait nous appeler à découvrir leur fraîcheur.
Les montagnes faisant à nouveau partie du paysage, les joues des gnous s’empourprèrent de plaisir. Nous quittâmes rapidement la vallée de l’Himekawa pour nous enfoncer dans la verdure et les lacets.
Les Gorges du Kotaki étaient annoncées et nous y descendîmes avec joie, mais notre stupeur fût grande de constater que l'itinéraire était fermé par une chaine cadenassée, pour raison d’éboulements. Vu le nombre de pierres qui jonchaient la route, cette dernière n’avait probablement pas été entretenue depuis de longs mois.
Nous rebroussâmes chemin tout à notre joie d’arriver à dix-sept heures trente à l’hotel Higashi-kan La Neige qui dispose fort heureusement d’un délicieux restaurant où l’on nous servit un chevreuil rosé extrêmement tendre.
Nous nous couchâmes ensuite, heureux d’avoir découvert la côte nord du pays et de retrouver les montagnes, les lacets et la fraîcheur de l’altitude.
Papa Gnou leva le couvercle et découvrit un tub en bois rempli d’eau chaude dans lequel il se plongea avec délectation. Les vagues en contrebas venaient mourir sur les rochers.
McGnou fit quelques photos pour mémoriser l’instant, puis intervertit les rôles.
Le petit-déjeuner continental qui nous attendait au soleil fût servi par un personnel affable et attentionné qui nous remonta avec nos bagages au parking sur la hauteur. La veille nous avions descendu la rampe de type aller-retour à 15% mais en repartant pour le restaurant, McGnou cala et manqua de peu de tomber. Il renonça à réitérer l’exercice dans l’obscurité et les motos restèrent stationnées sur la hauteur.
La réceptionniste nous salua de la main jusqu’à ce que nous disparaissions à l’horizon. Nous appréciâmes ce geste aimable inconnu sous nos contrées.
Une fois le paquetage embarqué, nous partîmes vers le sud à la découverte de la côte orientale de la péninsule de Noto. Protégée des vents dominants, elle était à la fois moins escarpée et moins rocheuse. Sa végétation descendait jusqu’à la mer,
De ce côté, l’archipel est constitué d'îles reliées entre elles par des ponts. Nous évoluions à une allure moyenne, sachant qu’un quart du road-book serait parcouru sur une autoroute, ce qui nous laissait le loisir de musarder.
Une fois dans la plaine urbaine, le paysage avait perdu tout son charme et la température atteignait les trente degrés. Les cimes enneigées des Alpes lointaines semblait nous appeler à découvrir leur fraîcheur.
Les montagnes faisant à nouveau partie du paysage, les joues des gnous s’empourprèrent de plaisir. Nous quittâmes rapidement la vallée de l’Himekawa pour nous enfoncer dans la verdure et les lacets.
Les Gorges du Kotaki étaient annoncées et nous y descendîmes avec joie, mais notre stupeur fût grande de constater que l'itinéraire était fermé par une chaine cadenassée, pour raison d’éboulements. Vu le nombre de pierres qui jonchaient la route, cette dernière n’avait probablement pas été entretenue depuis de longs mois.
Nous rebroussâmes chemin tout à notre joie d’arriver à dix-sept heures trente à l’hotel Higashi-kan La Neige qui dispose fort heureusement d’un délicieux restaurant où l’on nous servit un chevreuil rosé extrêmement tendre.
Nous nous couchâmes ensuite, heureux d’avoir découvert la côte nord du pays et de retrouver les montagnes, les lacets et la fraîcheur de l’altitude.