Vendredi 23 mars 2018 - Tour de Gomera
Le soleil brillait dans le ciel lorsque les gnous sortirent de leur torpeur nocturne. Il éclairait le port de Santiago d’une lumière horizontale mais déjà chaude.
Le programme du peloton était fort léger: parcourir en une journée une île de 22 km de diamètre n’est pas un challenge insurmontable.
Le road-book n’accusait que 180 km, ce qui ne prendrait que quelques heures.
Le temps étant clément, la journée s’annonçait sous les auspices les plus favorables.
Avec ses 379 km2, Gomera est une des plus petites îles habitées de l’archipel. Elle ne vit que d’agriculture et de tourisme. Ses quelques 22.000 habitants produisent du miel de palme, du fromage de chèvre, et des fruits tropicaux. Le parc naturel de Garajonay couvre le centre de l’île qui culmine à près de 1.500 mètres. En altitude, la température atteint les 8*C à cette époque. Elle est de 21*C au niveau de la mer. La nébulosité est très souvent présente, mais le soleil brille toujours quelque part.
L’absence de promotion immobilière en fait un paradis pour les amoureux de la nature, de sa faune et de sa flore et des randonnées.
Nous nous délectames de ses routes sinueuses et escarpées mais parfaitement asphaltées, ce qui en fait un paradis pour les motards.
L’absence de route côtière impose un passage par le centre pour tout déplacement, variant les plaisirs de la route et les changements de biotope.
Notre déjeuner fût pris à Valle del Rey à l’ouest, mais nous visitâmes également le mirador des Abrante qui offre une vue spectaculaire et verticale sur la petite ville d’Agulo au nord-est.
McGnou, occupé à résoudre un problème d’intendance par téléphone avec sa gnoussette se couvrit de honte et de ridicule en se fourvoyant à la tête de la colonne. Il traversa une forêt dense et couverte qui n’offrait aucun intérêt pour ses pauvres congéneres qui baillaient allègrement dans leurs casques.
On rentra à Jardin de Tecina par une magnifique route sinueuse illuminée par le couchant.
Le programme du peloton était fort léger: parcourir en une journée une île de 22 km de diamètre n’est pas un challenge insurmontable.
Le road-book n’accusait que 180 km, ce qui ne prendrait que quelques heures.
Le temps étant clément, la journée s’annonçait sous les auspices les plus favorables.
Avec ses 379 km2, Gomera est une des plus petites îles habitées de l’archipel. Elle ne vit que d’agriculture et de tourisme. Ses quelques 22.000 habitants produisent du miel de palme, du fromage de chèvre, et des fruits tropicaux. Le parc naturel de Garajonay couvre le centre de l’île qui culmine à près de 1.500 mètres. En altitude, la température atteint les 8*C à cette époque. Elle est de 21*C au niveau de la mer. La nébulosité est très souvent présente, mais le soleil brille toujours quelque part.
L’absence de promotion immobilière en fait un paradis pour les amoureux de la nature, de sa faune et de sa flore et des randonnées.
Nous nous délectames de ses routes sinueuses et escarpées mais parfaitement asphaltées, ce qui en fait un paradis pour les motards.
L’absence de route côtière impose un passage par le centre pour tout déplacement, variant les plaisirs de la route et les changements de biotope.
Notre déjeuner fût pris à Valle del Rey à l’ouest, mais nous visitâmes également le mirador des Abrante qui offre une vue spectaculaire et verticale sur la petite ville d’Agulo au nord-est.
McGnou, occupé à résoudre un problème d’intendance par téléphone avec sa gnoussette se couvrit de honte et de ridicule en se fourvoyant à la tête de la colonne. Il traversa une forêt dense et couverte qui n’offrait aucun intérêt pour ses pauvres congéneres qui baillaient allègrement dans leurs casques.
On rentra à Jardin de Tecina par une magnifique route sinueuse illuminée par le couchant.