22 juin 2024 Les Planches près Arbois - Domremy la Pucelle
Le temps était maussade au moment de notre départ, aussi avions nous enfilé tout ce que nous avions d’étanche, d’imperméable et d’hermétique dans l‘espoir de rester au sec même en traversant un lac.
Nous ne subîmes que quelques ondées qui ne nous dérangèrent pas outre-mesure; nous évoluâmes tout au plus sur la pointe des gommes.
En traversant Port-Lesney, nous eûmes une pensée émue devant le château de Germigney où nous avions souvent fait halte avant que le chef ne s‘en aille montrer ses poêles ailleurs.
La pluie ne nous encourageant pas à faire de nombreuses haltes, nous prîmes un petit Meli à la sortie de la forêt de Farincourt. Un petit édicule de 4 m2 avec feu ouvert et cheminée mais sans porte nous permit de nous abriter. A Bourbonne-les-bains nous tentâmes d’entrer en ville pour déjeuner. Nous en fîmes le tour sans trouver un seul accès qui ne fût fermé, comme dans le rond-Point de Raymond Devos mais à l’envers. Nous bravâmes finalement les interdictions sous l’œil inintéressé de la police locale et pûmes déjeuner dans la micro-crêperie ChocolaThé.
Papa Gnou était comme deux ronds de flans devant notre road-book qu‘il jugea exceptionnel. Jamais il n‘avait trouvé tel itinéraire dans cette région trop habitée, construite et fréquentée. C‘est juste incroyable, s‘exclama-t-il: pas de bagnoles, pas de villes et pas de flics. C‘est le paradis.
Nous passâmes devant la basilique Sainte Jeanne d‘Arc où nous eûmes une pensée pieusement pour la pucelle et arrivâmes à notre gîte d’étape le Clos Domremy vers 16.00 heures après avoir parcouru 250 km.
Cette grosse villa d‘aspect 18ème offre chambres et appartements dans un jardin clos, arboré et fleuri qui comprend deux splendides frênes pleureurs séculaires.
Nous dînâmes au Bois Chenu, nouvelle pépite de Papa Gnou qui sait dénicher les gemmes gastronomiques entre Brabant et Valais. La fin de notre délicieux repas fût saluée par un splendide arc-en-ciel qui semblait tendre une main au restaurant et l‘autre à la basilique pour unir les nourritures terrestres et célestes.
Nous ne subîmes que quelques ondées qui ne nous dérangèrent pas outre-mesure; nous évoluâmes tout au plus sur la pointe des gommes.
En traversant Port-Lesney, nous eûmes une pensée émue devant le château de Germigney où nous avions souvent fait halte avant que le chef ne s‘en aille montrer ses poêles ailleurs.
La pluie ne nous encourageant pas à faire de nombreuses haltes, nous prîmes un petit Meli à la sortie de la forêt de Farincourt. Un petit édicule de 4 m2 avec feu ouvert et cheminée mais sans porte nous permit de nous abriter. A Bourbonne-les-bains nous tentâmes d’entrer en ville pour déjeuner. Nous en fîmes le tour sans trouver un seul accès qui ne fût fermé, comme dans le rond-Point de Raymond Devos mais à l’envers. Nous bravâmes finalement les interdictions sous l’œil inintéressé de la police locale et pûmes déjeuner dans la micro-crêperie ChocolaThé.
Papa Gnou était comme deux ronds de flans devant notre road-book qu‘il jugea exceptionnel. Jamais il n‘avait trouvé tel itinéraire dans cette région trop habitée, construite et fréquentée. C‘est juste incroyable, s‘exclama-t-il: pas de bagnoles, pas de villes et pas de flics. C‘est le paradis.
Nous passâmes devant la basilique Sainte Jeanne d‘Arc où nous eûmes une pensée pieusement pour la pucelle et arrivâmes à notre gîte d’étape le Clos Domremy vers 16.00 heures après avoir parcouru 250 km.
Cette grosse villa d‘aspect 18ème offre chambres et appartements dans un jardin clos, arboré et fleuri qui comprend deux splendides frênes pleureurs séculaires.
Nous dînâmes au Bois Chenu, nouvelle pépite de Papa Gnou qui sait dénicher les gemmes gastronomiques entre Brabant et Valais. La fin de notre délicieux repas fût saluée par un splendide arc-en-ciel qui semblait tendre une main au restaurant et l‘autre à la basilique pour unir les nourritures terrestres et célestes.