Dimanche 25 mars 2018 - La Palma nord-ouest
Notre deuxième jour à La Palma s’annonçait sous les meilleures augures. Le soleil dardait ses rayons sur la mer et nous espérions profiter d’un temps extrêmement favorable pour traverser l’ile.
La montée dans les pinèdes fût exceptionnelle car la route était sèche et le revêtement de bonne qualité. À proximité du sommet, les gnous s’offrirent un coup d’adrénaline en découvrant des billes de lave sur la chaussée dans un tournant. Il fallut rouler sur des œufs, en serrant les postérieurs, tâche à laquelle les herbivores excellent.
Lorsque nous arrivâmes au sommet, un paysage fantasmagorique apparut à nos pieds : une épaisse couche de nuages voilait la mer et on se serait cru en avion. La montagne semblait flotter sur un nuage. Tenerife apparaissait au loin avec le Teide qui dominait l’île, tel un pain de sucre. Ébahis par tant de beauté, nous étions muets d’admiration.
Nous renoncâmes à tenter l’ascension du Pico de las Nieves, la route non asphaltée étant couverte d’un épais tapis d’aiguilles de pin. Les voitures autour de nous n’étaient d’ailleurs pas plus enclines à attaquer la piste.
Une halte au mirador de los andenes nous permit d’admirer la vue des deux côtés de l’île, et la mer de nuages en contrebas.
Nous pousuivimes notre évolution vers le Roque de los muchachos (rocher des jeunes gens) où se trouve l’impressionnant site d’astronomique installé par l’union européenne en cet endroit en raison du faible niveau de pollution lumineuse. Le Teide semblait dominer l’infinie nébulosité.
Nous reconstituâmes nos forces à la Briesta, la seule auberge d’altitude en ce pays perdu. Le pollo asado nous permit de récupérer les nombreuses calories perdues durant l’ascension.
Nous dûmes ensuite nous résoudre à abandonner les sommets ensoleillés redescendre vers la vallée pour rentrer au Parador.
La montée dans les pinèdes fût exceptionnelle car la route était sèche et le revêtement de bonne qualité. À proximité du sommet, les gnous s’offrirent un coup d’adrénaline en découvrant des billes de lave sur la chaussée dans un tournant. Il fallut rouler sur des œufs, en serrant les postérieurs, tâche à laquelle les herbivores excellent.
Lorsque nous arrivâmes au sommet, un paysage fantasmagorique apparut à nos pieds : une épaisse couche de nuages voilait la mer et on se serait cru en avion. La montagne semblait flotter sur un nuage. Tenerife apparaissait au loin avec le Teide qui dominait l’île, tel un pain de sucre. Ébahis par tant de beauté, nous étions muets d’admiration.
Nous renoncâmes à tenter l’ascension du Pico de las Nieves, la route non asphaltée étant couverte d’un épais tapis d’aiguilles de pin. Les voitures autour de nous n’étaient d’ailleurs pas plus enclines à attaquer la piste.
Une halte au mirador de los andenes nous permit d’admirer la vue des deux côtés de l’île, et la mer de nuages en contrebas.
Nous pousuivimes notre évolution vers le Roque de los muchachos (rocher des jeunes gens) où se trouve l’impressionnant site d’astronomique installé par l’union européenne en cet endroit en raison du faible niveau de pollution lumineuse. Le Teide semblait dominer l’infinie nébulosité.
Nous reconstituâmes nos forces à la Briesta, la seule auberge d’altitude en ce pays perdu. Le pollo asado nous permit de récupérer les nombreuses calories perdues durant l’ascension.
Nous dûmes ensuite nous résoudre à abandonner les sommets ensoleillés redescendre vers la vallée pour rentrer au Parador.