Samedi 1er juin 2019 - Tokyo
Une longue journée nous attendait: nous avions demandé à Akiko, notre guide, de nous montrer tous les aspects insolites de la ville en se concentrant sur les jardins, les parcs, les vieux quartiers traditionnels, les temples, les monuments remarquables et l’architecture contemporaine. C’est tout un programme, nous dit-elle en nous recevant chez elle pour nous donner les consignes de sécurité des déplacements vélocipédiques dans la métropole.
Nous commençâmes par le quartier latin de l’université de Tokyo et admirâmes le quartier de Yanaka Ginza où les personnes âgées font leurs commissions quotidiennes.
Plus loin nous admirâmes quelques anciennes demeures traditionnelles qui n’ont pas - encore - été rasées. Leurs façades de bois sur un, deux, voire trois étages ne manquaient pas de charme, d’autant qu’elles appartenaient à des Shoguns et des notables.
Est-ce parce que les maisons de bois sont vouées à la destruction ou à l’incendie que la procédure européenne de classement n’existe pas ici? Nul ne le sait, mais il faut admettre qu’à part les temples, il ne reste que fort peu de ces édifices.
Nous pûmes également visiter le site du temple de Nezu-jinja dont les azalées sont réputés.
Nous allâmes ensuite au jardin de Ueno, célèbre pour son lac et ses fleurs de lotus.
Nous remontrâmes ensuite vers Taito Yanaka, une rue traditionnelle japonaise où les petits commerces subsistent sous leur forme ancienne et où les locaux font leurs emplettes quotidiennes.
Nous poursuivîmes par le cimetière de Yanaka qui est l'équivalent local du père Lachaise. Un temple boudhiste adjacent et son cimetière permettent d’honorer les morts dans un environnement religieux. Le culte des morts est très poussé au Japon. On y consacre souvent de fortes sommes afin de témoigner de son affection au disparu vis-à-vis des vivants.
Akiko nous expliqua qu’après la crémation, la famille se réunit près du four pour ramasser les ossements non calcinés et les disposer dans l’urne funéraire. C’est de cette tradition que provient l’expression nipponne: « Je ramasserai tes os » qui signifie que l’on s’occupera d’un proche jusqu’à la fin, et même après la mort.
Nous redescendîmes ensuite vers Taito et nous arrêtâmes pour admirer un ensemble de vieilles maisons de bois converties en restaurants et magasins dont plusieurs dédiés à la gastronomie française. L’un de nous se félicita du beau temps, ajoutant que sous la pluie, la visite eût été bien moins plaisante. Akiko acquiesça: « Ici la pluie est comme le chagrin des japonaises: une interminable cataracte. »
Nous fûmes ensuite au temple de Gokoku-In qui a la particularité d’être entièrement ouvert au public.
Le parc de Rikugien, et le Jardin botanique nous permirent de nous ressourcer dan le calme et là sérénité des azalées et des hydrangéas en fleurs.
Dans le quartier de Chiyoda nous pûmes admirer des entrepôts transformés en magasins sous les voies ferrées du métro et même prendre un léger déjeuner sur le quai d’une station abandonnée entre les rames qui passaient à moins d’un mètre de nos tables.
Un passage par Nihombashi et le siège néoclassique de la banque Mitsui, un temple shintô sur une place entre les gratte-ciels et une place ombragée telle un oasis de verdure entre le siège ancien de Mitsubishi en briques et pierre de taille et les tours de verre avoisinantes.
Nous fîmes ensuite un passage par la façade ancienne de la gare centrale de Tokyo et la place du palais impérial avant de retourner vers Hongo-Sanchome où nous pûmes voir une manifestation Shintô en pleine rue.
Après avoir remercié Akiko pour cette longue journée à découvrir la fascinante capitale de l’empire du soleil levant, nous décidâmes d’aller flâner du côté d’Omotesando, Aoyama et Shibuya. Nous pûmes voir l’architecture contemporaine des navires-amiral du luxe et la vie trépidante des abords de la gare de Shibuya où les jeunes gens déambulaient en masse pour profiter de leur samedi soir.
Nous rentrâmes par la ligne Yamanote et nous couchâmes les yeux embués de tant de beauté, de variété et de contraste.
Nous commençâmes par le quartier latin de l’université de Tokyo et admirâmes le quartier de Yanaka Ginza où les personnes âgées font leurs commissions quotidiennes.
Plus loin nous admirâmes quelques anciennes demeures traditionnelles qui n’ont pas - encore - été rasées. Leurs façades de bois sur un, deux, voire trois étages ne manquaient pas de charme, d’autant qu’elles appartenaient à des Shoguns et des notables.
Est-ce parce que les maisons de bois sont vouées à la destruction ou à l’incendie que la procédure européenne de classement n’existe pas ici? Nul ne le sait, mais il faut admettre qu’à part les temples, il ne reste que fort peu de ces édifices.
Nous pûmes également visiter le site du temple de Nezu-jinja dont les azalées sont réputés.
Nous allâmes ensuite au jardin de Ueno, célèbre pour son lac et ses fleurs de lotus.
Nous remontrâmes ensuite vers Taito Yanaka, une rue traditionnelle japonaise où les petits commerces subsistent sous leur forme ancienne et où les locaux font leurs emplettes quotidiennes.
Nous poursuivîmes par le cimetière de Yanaka qui est l'équivalent local du père Lachaise. Un temple boudhiste adjacent et son cimetière permettent d’honorer les morts dans un environnement religieux. Le culte des morts est très poussé au Japon. On y consacre souvent de fortes sommes afin de témoigner de son affection au disparu vis-à-vis des vivants.
Akiko nous expliqua qu’après la crémation, la famille se réunit près du four pour ramasser les ossements non calcinés et les disposer dans l’urne funéraire. C’est de cette tradition que provient l’expression nipponne: « Je ramasserai tes os » qui signifie que l’on s’occupera d’un proche jusqu’à la fin, et même après la mort.
Nous redescendîmes ensuite vers Taito et nous arrêtâmes pour admirer un ensemble de vieilles maisons de bois converties en restaurants et magasins dont plusieurs dédiés à la gastronomie française. L’un de nous se félicita du beau temps, ajoutant que sous la pluie, la visite eût été bien moins plaisante. Akiko acquiesça: « Ici la pluie est comme le chagrin des japonaises: une interminable cataracte. »
Nous fûmes ensuite au temple de Gokoku-In qui a la particularité d’être entièrement ouvert au public.
Le parc de Rikugien, et le Jardin botanique nous permirent de nous ressourcer dan le calme et là sérénité des azalées et des hydrangéas en fleurs.
Dans le quartier de Chiyoda nous pûmes admirer des entrepôts transformés en magasins sous les voies ferrées du métro et même prendre un léger déjeuner sur le quai d’une station abandonnée entre les rames qui passaient à moins d’un mètre de nos tables.
Un passage par Nihombashi et le siège néoclassique de la banque Mitsui, un temple shintô sur une place entre les gratte-ciels et une place ombragée telle un oasis de verdure entre le siège ancien de Mitsubishi en briques et pierre de taille et les tours de verre avoisinantes.
Nous fîmes ensuite un passage par la façade ancienne de la gare centrale de Tokyo et la place du palais impérial avant de retourner vers Hongo-Sanchome où nous pûmes voir une manifestation Shintô en pleine rue.
Après avoir remercié Akiko pour cette longue journée à découvrir la fascinante capitale de l’empire du soleil levant, nous décidâmes d’aller flâner du côté d’Omotesando, Aoyama et Shibuya. Nous pûmes voir l’architecture contemporaine des navires-amiral du luxe et la vie trépidante des abords de la gare de Shibuya où les jeunes gens déambulaient en masse pour profiter de leur samedi soir.
Nous rentrâmes par la ligne Yamanote et nous couchâmes les yeux embués de tant de beauté, de variété et de contraste.